14 décembre 2008
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Je suis tombée accidentellement, aujourd'hui, sur l'émission Rispostes : http://www.france5.fr/ripostes/ sur le thème "Vers une révolte des classes moyennes ?"
J'ai bien aimé la
remarque de la gauche sur l'analyse "Au raz les paquerettes" du logement, comme ils l'ont appelée. Mais je trouve surprenant que cela
viennent de la gauche, car la base et les petits français peuvent faire des remarques et apporter des éclairages utilent et complémentaires aux têtes pensantes et aux personnes qui les
gouvernent. Car l'ETAT c'est, non seulement, le chef de l'état et le gouvernement, mais aussi vous et moi !!
M'appelant PAQUERON, "Au raz les paquerettes" est une expression qui m'est familère et un classique des insultes de la maternelle, tranche
d'âge que j'aime beaucoup !
Et que trouve t-on en dessous et jusqu'au Raz des Pâquerettes ?
1- Les racines de toutes vies végétales,
2- Les fondations de toutes constructions, vital à sa solidité.
Alors, c'est plutot utile de raisonner de temps
à autre au Raz des Pâquerettes. C'est le moyen de redécouvrir la philisophie du GBS (Grand Bon Sens) et, à notre époque, c'est toujours bon à rappeler, même si nous avons parfois l'impression
d'enfoncer des portes ouvertes.
Sinon, Sarkosy risque d'entendre chanter
RAMONA !
Christine
-
dans
Convictions
12 décembre 2008
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Sans chômeurs, le personnel de l’ANPE perd son objet de
travail, alors, comment les motiver à réintégrer les inactifs dans le marché du travail ?
La cooptation reprenant un peu de vitalité, les agents de l’ANPE ne pourrait-ils pas avoir un pourcentage du salaire du candidat calculé en tenant compte de la
durée du salaire
Exemple :
Taux d'intéressement (nommé : TI) : définir un pourcentage tenant compte du nombre de mois ou d'année sans
emploi du chômeur. Plus la durée de chômage est longue et plus le le taux est important.
Pour l’employé de l’ANPE (nommé : A):
salaire d'A+ (TI % du salaire de C) x (nombre de mois travaillé de C)
Pour le chômeur (nommé C):
salaire de C – [(TI % du salaire de C) x (nombre de mois travaillé de C)]
=>Plus grande motivation à réussir le recrutement et mettre le bon candidat dans la bonne entreprise
=>Même motivation pour le candidat et le personnel ANPE à ce que les chômeurs réintègrent le marché du travail.
=>Augmente la motivation du chômeur à trouver sans l’ANPE pour avoir la totalité de son salaire.
=>Accroître la motivation à faire embaucher un chômeur de longue durée
par les employé de l'ANPE.
=>Réduire la tentation du personnel de l'ANPE à diriger le chômeur vers un formation (sans intéressement puisque sans salaire) plutôt que vers un emploi
(avec un intéressement puisque salaire).
C’est peut-être
utopique, mais ce sont des pistes de réflexions pour redynamiser les chômeurs. Car les formations de l’ANPE sont, malheureusement, souvent plus proches de la sieste collective…
(C’est du vécu et un avis très personnel !)
12 décembre 2008
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C’est le thème d’une émission de télé récente qui décrit les conséquences de la faillite de notre pays, intervenue le 06
juillet 2017 : émeutes et troubles sociaux, la France placée sous tutelle du FMI et de la Commission Européenne. A cette date future, la dette dépasse 200% de la richesse nationale, selon ce
télé-documentaire. Ce scénario est-il plausible ?
Bernard Marois
Aujourd’hui, la dette totale de la France s’élève à 1270 milliards d’euros, soit 67% du PIB national et les charges financières, environ 45 milliards d’euros, représentent le deuxième poste de
dépenses de l’Etat, après l’Education, mais avant la Défense. Bien que ce ratio soit supérieur au seuil de 60% retenu comme limite par le traité de Maastricht, il n’apparait pas énorme, si on le
compare à l’Italie, à la Belgique (plus de 100%) ou même au Japon (170%).
Ce qui est le plus inquiétant, c’est sa progression : 16% en 1974, 32% en 1991, 58% en 1997. Avec un déficit budgétaire structurellement déficitaire depuis plus de 30 ans, cette croissance de la
dette est inévitable : on prévoit d’ailleurs un déficit de 56 milliards en 2009, sans compter la contribution de l’Etat aux banques ou au soutien de l’économie.
A ce rythme, on peut anticiper un ratio de la dette compris entre 80% et 90%, en 2017. On est donc loin des 200% évoqués dans l’émission télévisée, dont l’objectif est plutôt de susciter
l’attention et l’inquiétude des téléspectateurs que de fournir une prévision objective. En outre, certains économistes considèrent qu’il faut raisonner en endettement « net » et prendre aussi en
compte les actifs de l’Etat, susceptibles d’être vendus pour rembourser la dette. Dans ce cas, l’endettement net ne dépasse pas 35% de la richesse nationale, ce qui est raisonnable.
Sauf que les actifs de l’Etat ne sont pas tous facilement fongibles (il faut trouver des acheteurs) ; certains d’entre eux (Château de Versailles, Louvre, etc.) sont considérés, à juste titre,
comme « des bijoux de famille » et ne pourraient être cédés sans que l’image de notre pays soit durablement dévalorisée.
En conséquence, il faut retenir plutôt l’endettement brut et
surtout sa progression ; la plupart de nos concurrents industriels ont vu leur ratio d’endettement diminuer ces dernières années, contrairement à nous. Notons aussi un signal révélateur : la
prime de risque de la France, par rapport à l’Allemagne, mesurée par le rendement des emprunts d’Etat est passée de 10 points de base, il y a un an à 20 points, il y a cinq mois et à 45 points
(soit plus 0.4% du nominal) aujourd’hui, ce qui correspond à une notation de A+ ou AA-, au lieu du traditionnel AAA, dont nous bénéficions dans le passé.
Cela indique que les investisseurs internationaux commencent à regarder la signature de la France avec plus de vigilance. Quelle conclusion doit-on tirer ?
Certes, il faut accepter de s’endetter plus, pour survivre à la crise. Mais nous proposons qu’une loi soit passée dès aujourd’hui qui oblige l’Etat à diminuer son déficit budgétaire, dès que la
croissance reviendra. Et nous suggérons des chiffres précis : -0,5% pour une croissance annuelle comprise entre 1,5% et 2% ; -1% pour une croissance comprise entre 2% et 2,5% ; -1,5%, si la
croissance dépasse 2,5%. Ces efforts doivent être entrepris réellement (donc sans utiliser des artifices comptables) et vérifiés par la Cour des Comptes, sous l’œil du Parlement.
C’est à ce prix que l’on évitera la réalisation du scénario catastrophe esquissé par Nicolas Beytout, lors de son émission télévisée.
Professeur Bernard MAROIS
Président Club Finance HEC
Extrait :
http://www.cfo-news.com/La-France-en-faillite-_a7759.html
27 novembre 2008
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S’il n’a pas adhéré à un centre de gestion
agréé, un commerçant est libre de refuser les paiements par chèque ou de ne les accepter qu’à partir d’un certain montant.
Un commerçant peut-il refuser un paiement par chèque ? C’est une question récurrente, sans doute en raison du nombre important d’impayés et des frais de gestion inhérents à ce moyen de paiement,
et à laquelle les pouvoirs publics ont déjà répondu à plusieurs reprises : oui, un commerçant peut refuser un paiement par chèque ou ne l’accepter qu’à partir d’un montant minimal. La
pratique impose qu’il en informe préalablement sa clientèle, notamment par le biais de petites affichettes, bien visibles dans son magasin, sur lesquelles est inscrite la mention « chèques
acceptés à partir de… € ».
Toutefois, les commerçants qui sont adhérents à un centre de gestion agréé sont tenus d’accepter les paiements par chèque.
À savoir : ils peuvent néanmoins les refuser lorsqu’il est d’usage pour certains achats de payer en espèces (articles de faible valeur comme le pain, un paquet de cigarette, quelques articles
d’épicerie…), ou lorsqu’une réglementation professionnelle l’impose (PMU, loto…), ou quand les frais d’encaissement du chèque sont disproportionnés par rapport au montant de la transaction.
Rép. Min. n°6408, JOAN du 7 octobre 2008
Information sur l'actualité comptable : http://www.lesclesdelinfo.com/comptabilite.php
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Suite à la création de l'association "Sur les Pas des Saints", qui a commencé exactement le dimanche 26 décembre 1999 avec les premiers marcheurs.
Je me suis toujours demandée pourquoi cette marche de Fourvière vers Ars continuait toujours, et pourquoi la vie des Saints plait ?
Et, finalement, je me suis dit que la solution était évidente :
Il est accessible à tous le monde !!!
Et c'est un des membres fondateur de cette association qui vous le dit...
Sainte journée à vous tous !
21 octobre 2008
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Alors
voilà, Mme Ginette a une buvette à Bertincourt, dans le Pas de Calais. Pour augmenter ses ventes, elle décide de faire crédit à ses fidèles clients, tous alcooliques, presque tous au chômage de
longue durée. Vu qu'elle vend à crédit, Mme Ginette voit augmenter sa fréquentation et, en plus, peut augmenter un peu les prix de base du "calva" et du ballon de rouge.
Le jeune et dynamique directeur de l'agence bancaire locale, quant à lui, pense que les "ardoises" du troquet constituent, après tout, des actifs recouvrables, et commence à faire crédit à Mme
Ginette, ayant les dettes des ivrognes comme garantie.
Au siège de la banque, des traders avisés transforment ces actifs recouvrables en CDO, CMO, SICAV, SAMU, OVNI, SOS et autres sigles financiers imbitables. Ces instruments financiers servent
ensuite de levier au marché actionnaire et conduisent, au NYSE, à la City de Londres, au Bourses de Francfort et de Paris, etc., à des opérations de dérivés dont les garanties sont totalement
inconnues de tous (c.à.d., les ardoises des ivrognes de Mme Ginette).
Ces "dérivés" sont alors négociés pendant des années comme s'il s'agissait de titres très solides et sérieux sur les marchés financiers de 80 pays.
Jusqu'au jour où quelqu'un se rend compte que les alcoolos du troquet de Bertincourt n'ont pas un rond pour payer leurs dettes.
La buvette de Mme Ginette fait faillite.
et le monde entier paie les actifs inexistants à la place de Mme Ginette .....
19 octobre 2008
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Ayant du consacrer plus de temps en prospection et démarches de terrain, le blog est un peu à l'abandon. Alors un rapide passage...
Cette année étant le 10 ème salon des Micro Entreprises, les conférences étaient à la hauteur de l'anniversaire. Les participants étaient plus professionnels dans leurs démarches, c'était
très agréable.
Un très grand nombre de visiteur sont venu découvrir les nouvelles mesures à venir, en janvier 2009, sur le nouveau statut d'Auto Entrepreneur. L'interaction avec la salle était bon enfant et
surtout très constructive.
Hormis une de mes voisines très pointilleuse sur le sujet et qui focalisait sur le micro. Mais, malgré ses commentaires sanglants, ceux-ci étaient toujours a propos et permettaient de faire
avancer le débat. Je regrète de ne pas avoir pris sa carte de visite. Un dragon comme ça dans une entreprise, c'est une perle !
Sivous souhaiter avoir, avec précision, le contenu de ce nouveau satut, le lien ci-dessous sera le meilleur outil !
http://www.pme.gouv.fr/essentiel/loimodernisationeco/auto_entrepreneur_int2_bd.pdf
Pour ma part, je trouve ce livret du ministère de l'économie clair, synthétique et compréhensible pour des novices.
Et oui, les Ministres semblent avoir quittés Syrius pour la planète Terre !!
Ouf !
Bon, quand à nous les petits français, nous allons devoir rester vigilant, pour leurs éviter de nouveaux décolages dans notre chère galaxie...
Un autre intervenant m'a surpris dans la qualité de sa prestation, Monsieur Gérard AUBIN.
Pour les personnes de Marseille, n'hésitez pas à aller l'écouter. Il a les pieds sur terre, ses informations sont réalistes, pleines de bon sens...
Une de ses autres qualités, il a un moral d'acier et est un facteur de motivation.
Avec un interlocuteur comme lui, vos projets peuvent prendre vie !
http://www.salonmicroentreprises.com/conference/2008/conf-Le-cocktail-gagnant-du-createur-dentreprise--les-bonnes-pratiques-dun-createur-heureux--251.html
Ne pouvant faire un roman sur ces trois jours, je vous invite à consulter leur site :
http://www.salonmicroentreprises.com/
Si vous aimez travailler, que vous avez l'esprit constructif et que vous souhaitez prendre des initiatives, que vous soyez étudiants, chômeurs, retraités et biensur en activité en
Association, TPE ou petite PME, ce salon est un outil incontournable...
Enfin moi, je suis fan !
10 septembre 2008
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Toujours plus simples
!
De plus en plus d’entreprises du BTP déclarent leur TVA et effectuent leurs déclarations sociales en ligne…
Moins de frais, moins de «paperasse», gain de temps… autant d’avantages non négligeables qu’offrent aujourd’hui les nouvelles technologies.
Concernant la gestion, le perfectionnement des logiciels simplifie également de plus en plus la tâche des entreprises.
Plus simples et plus rapides d’utilisation, ils permettent désormais de mieux maîtriser les coûts, la qualité et les délais.
Actuellement, 60% des entreprises du bâtiment sont équipées de logiciel de gestion.
(source éditeurs de logiciels de gestion)
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3 septembre 2008
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Vendredi 22 Août 2008
- comme assistante de gestion : entretien très bref et qui rapidement nous a permit de voir que nos personnalités n'étaient pas complémentaires.
Mardi 19
août 2008
- comme assistante commerciale : entretien très long et durant lequel deux postes m'ont été proposés :
* l'un, comme soutien administratif au service commercial, avec une partie importante de relance
téléphonique pour recontacter les anciens clients et leur présenter nos nouveaux produits et services, cernez leurs besoins futurs.
* le second, comme secrétaire administrative, avec une grosse par de logistique pour soutenir l'employée du courrier,
autant dire un de ces métiers que l'on accepte à défaut d'autre chose, car c'est plutôt stupide comme travail.
Ils ont optés pour la jeunesse, je suis trop agée pour eux.
Ouf ! Pour une fois, c'est bien d'être vieille....
Mercredi 30 juillet 2008
- comme assistante de gestion : entretien banal et fade, recrutement stéréotypé et description des tâches très floue. La partie sur la comptabilité des salaires devait être une grosse partie
avec beaucoup de social et peu de comptabilité pur. Leur comptabilité me semble très sommaire, je trouve même que le mot de comptable est pompeux pour le travail à faire...
Jeudi 24 juillet 2008
- comme secrétaire commercial suite à un premier entretien dans leur entreprise pour leur service publicité lors d'une autre candidature. Ne parlant pas espagnol, m'a condidatue avait été
abandonnée. Mais, ayant donnée une impression favorable, leur service de publication m'a recontactée pour un autre poste dans un autre service et pour une activité dans l'exagone.
Jeudi 10 juillet 2008 (mais uniquement au téléphone)
- baratineur sans intérêt et professionnel du bleuf
Mardi 08 juillet 2008
- comme assistante de gestion : mon interlocuteur était compétent, avec des procédés de travail actuel et redynamisant une activité. Par contre, l'atmosphère était fausse dans le service,
mais une fois que c'est remarqué, il suffit de s'adapté !
Jeudi 03 juillet 2008
- comme secrétaire commercial :
j'ai déjà développé cette intertien
En résumé, très résumé, voila mes recherches d'emplois de l'été 2008 !!
Retour vers l'emploi que je rêve de faire
Retour vers ma vision d'une assistante de gestion
22 août 2008
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